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En "Résonance"
Biennale de Lyon
Jean-Christophe De Clercq
"Conversations"
 

Marilena Aligizaki / Panagiotis Kefalas / Efsevia Michailidou / Alice Palaska / Alexandra (Ada) Petranaki / Evi Roumani / Giorgos Tserionis / Andreas Vousouras
Marilena Aligizaki, Panagiotis Kefalas, Efsevia Michailidou, Alice Palaska, Alexandra (Ada) Petranaki , Evi Roumani, Giorgos Tserionis, Andreas Vousouras
Transmission grecque

Commissaires de l’exposition : Laurent Quénéhen et Maria Xypolopoulou

L’art n’est pas apatride ou peut-être pour quelques grandes pointures internationales qui font de l’art au mètre pour de titanesques musées interchangeables, mais pour beaucoup d’artistes plus ou moins indemnes du marché financier et du marché de l’art, il y a une histoire personnelle vitale, un vécu social, des expériences de vies sensorielles et olfactives, des usages et des traditions qui ne sont pas identiques s’ils vivent en Chine, en Russie, en Afrique, en Grèce ou ailleurs, tout du moins pas encore. C’est la raison de ces focales sur des artistes étrangers. Ce n’est pas tant la nationalité qui est importante, mais les lieux de vie de l’enfance, les habitudes, les écoles d’art (essentielles) ou leur absence ; les coutumes, la cuisine et même la météo. On ne crée pas à New York comme à Bamako, à Pékin ou à Moscou, à moins d’être créateur d’art brut et encore, l’art brut français n’est pas l’art brut mexicain ou autrichien, personne ne vient de nulle part. Il n’y a sans doute plus de grands mouvements artistiques, mais il y a des lieux de production, diffusion, des points de vue propres à la situation locale, des identités, il y en a même de plus en plus. La Grèce a un lourd passé esthétique, elle transmet ses codes depuis des lustres, comme une vielle dame élégante, elle est la référence antique que l’on se doit de respecter, pas si simple d’être artiste contemporain en Grèce avec ce patrimoine là. Le terme transmission vient du latin "Transmittere", ou "Tra-mittere" : "déposer au-delà", ce qui est cédé par héritage. Cela peut être positif, comme l’amour, la culture ou négatif, comme une contagion, un virus. C’est aussi l’opération de transmettre un message d’un émetteur à un récepteur, ce qui passe d’un élément à un autre, c’est en somme l’essence de l’art, savoir-faire et faire savoir. La culture grecque a transmis au monde tant de savoir vivre que l’on se plait encore à imaginer ce pays comme un eldorado. C’était peut-être le cas il y a une quinzaine d’années, mais la crise financière et les grandes vagues d’immigrations ont bouleversé cet éden fragile. Beaucoup ont perdu leur travail, leur maison, leurs espoirs. Sur les plages des migrants désespérés ont remplacé les touristes en goguette. Une grande défiance envers le monde politique s’est installée avec son lot de violence, d’emplois sans contrat, de salaires de misère. La précarité est devenue le quotidien pour beaucoup. Cette réalité est celle que vivent les grecs, une certaine désillusion quant à nos modèles de société. Cette exposition est un extrait de l’art contemporain qui se produit actuellement dans les galeries athéniennes, comme si vous y étiez.

Laurent Quénéhen

L’exposition Transmission Grecque accueille les œuvres de huit artistes contemporains grecs qui présentent leurs travaux pour la première fois en France. Habitants d’Athènes, ces artistes expriment chacun à leurs manières leurs propres questionnements et problématisent les événements contemporains à travers un prisme sociopolitique. Considérée depuis longtemps comme un pays de « transmission » des propriétés intellectuelles et culturelles en Europe, la Grèce est liée  à un imaginaire où trônent les paysages idylliques des iles, un monde au-delà de l’Europe et de l’Orient, un idéal antique et un « souvenir noir » d’instabilité financière et politique. Par le biais des dessins, peintures, installations, vidéos et sculptures, ces huit artistes grecs proposent leurs perceptions multidimensionnelles à ce qui pourrait être une « transmission grecque » aujourd’hui, loin des concepts stéréotypés et des représentations standardisées de leur pays.

Les derniers travaux de Marilena Aligizaki sont liées à ses recherches de doctorante à l’Université des Beaux-Arts d’Athènes et constituent l’évolution des questionnements que l’artiste a abordé en 2015 sur les différentes dimensions que peut avoir le sport dans la société. A travers une série d’entretiens et de documentaires réalisés par elle-même, l’artiste interroge la pratique du sport collectif par les minorités migratoires et le caractère sexué de certains types de sports en Grèce. Panagiotis Kefalas s’inspire de son temps, ses souvenirs, son environnement, mais aussi de la peinture elle-même. L’ensemble de son travail se présente sous la forme de peintures à l'huile de petit format sur toile et bois. Les images qu’il crée proviennent d'un large éventail d'archives personnelles. Ce protocole sert d'outil de désorientation pour s’éloigner du document original afin d'en créer un nouveau, libre de la source première et prêt à être peint après un processus de transformation interne. Son objectif est de créer un monde personnel où chaque pièce est un fragment narratif d'un tout en constante évolution.  Efsevia Michailidou travaille l’univers des symboles (sel – catharsis, mousse – évolution, renaissance, fleurs de camomille – guérison, fleurs séchées – mort, coton - innocence) dérivé de processus internes et de mécanismes émotionnels. Dans ses œuvres, les formes empruntées à la nature apparaissent souvent semblables à des fossiles en forme d’utérus, nid, coquille ou racines ; comme une allusion à la recherche constante de l'identité et des origines. Son travail est axé sur l'exploration d'archétypes classiques, d'instincts primaires et de préoccupations existentielles (naissance, amour, mort, renaissance). Michailidou permet aux matériaux eux-mêmes de déterminer le résultat final à travers un processus alchimique. Aliki Palaska  appartient à une génération d'artistes qui composent l'art grec contemporain depuis les années 2000, qui a émergé aux côtés des « Young British Artists ». Dans son travail, elle s'exprime avec différents matériaux visibles sous forme d'installations. Ses références proviennent du domaine de la culture underground et de la philosophie rock et visent à contester les diktats politiques. Elle investit ce monde par l'imaginaire en sélectionnant des récits uniques qui sapent l'actualité et les images de la culture occidentale. Les recherches artistiques d’Alexandra Petranaki sont centrées à la fois sur la pensée philosophique et sur l’exploration des archives et des documents évoquant la mémoire personnelle ou collective. Ses œuvres, encadrant une volonté d’autoréflexion et de recherche identitaire, constituent des installations uniques en grand format et mélangent des sensations auditives et olfactives. Evi Roumani crée en utilisant le dessin et la vidéo comme support principal. Les images qu’elle utilise comme sources primaires proviennent d'une archive large et diversifiée. Le concept central de son travail trouve sa source dans le fait de placer une image hors de son contexte d'origine et de créer une métaphore qui permette au visiteur d'en explorer de nouveaux aspects. Ainsi, le document d’archive trouvé est recomposé vers une narration plus critique de sa version déjà connue. Giorgos Tserionis intègre différentes pratiques artistiques dans son travail qui se caractérise aussi par une variation des matériaux. De la céramique au collage, du dessin aux installations, Tserionis s’inspire des archives des photos et des textes qu’il collecte lors de ses recherches autour des notions du temps et de l’histoire investies d’un contenu idéologique et moral. Andreas Vousouras développe un travail qui se base sur l’utilisation des objets qu'il trouve dans ses pérégrinations urbaines ou des matériaux se rapportant à la mémoire personnelle ou collective qu’il transforme le plus souvent.

Maria Xypolopoulou, doctorante à Paris 1 (Sorbonne- Panthéon), curatrice et critique d’art indépendante

Marilena Aligizaki / Panagiotis Kefalas / Efsevia Michailidou / Alice Palaska / Alexandra (Ada) Petranaki / Evi Roumani / Giorgos Tserionis / Andreas Vousouras

Commissaires d’exposition/Curators :
Laurent Quénéhen, Maria Xypolopoulou

Transmissions d’une civilisation à une autre, renouveler tout en conservant. La culture grecque a transmis au monde son savoir, ses connaissances, sa philosophie, ses activités sportives, tout ou quasiment vient de nos amis grecs si malmenés ces dernières années par l’ultra capitaliste européen. Les grecs anciens ne sont pas à l’origine de « l’ubérisation » du monde, encore aujourd’hui, ils résistent et ont refusé l’implantation de la société Uber dans leur pays. Tous les artistes de cette exposition résident en Grèce, et le projet que nous proposons c’est un extrait de l’art contemporain qui se produit actuellement dans le pays. Le thème transmission vient du latin "Transmittere", ou "Tra-mittere" : "déposer au-delà", ce qui est cédé par héritage. Cela peut être positif, comme l’amour, le pouvoir, des privilèges ou négatif, comme une maladie, une contagion. C’est aussi l’opération de transmettre un message d’un émetteur à un récepteur, ce qui passe d’un élément à un autre, comme la transmission de pensée, c’est en somme l’essence de l’art, un retour aux origines pour avancer ; savoir-faire et faire savoir.

Marilena Aligizaki est née à Athènes en 1984. Elle est diplômée du département de la conservation des antiquités (Université d’Athènes) et de l’Ecole National des Beaux-Arts d'Athènes. En 2012, elle a étudié dans le cadre du programme d’Erasmus au département des arts plastiques à l'Université Paris 8. En 2014, elle a terminé ses études du programme Master of Fine Arts (MFA) organisé par l'École National des Beaux-Arts d'Athènes.

En 2015, elle a bénéficié d’une bourse pour étudier, dans le département MFA-Programme, Art public et nouvelles stratégies artistiques à l'université Bauhaus à Weimar. Depuis 2017, elle est doctorante à l'Ecole des Beaux-Arts d'Athènes. Elle a participé à plusieurs expositions collectives en Europe. A noter sa collaboration avec les institutions et sa participation auxprojets suivants : Imaginary Bauhaus Museum Goes Gorki- Gorki theater Berlin,
Identalterity– 5th Biennale Thessaloniki, Dialogos 8, New Babylon Revisited - Goethe-Institute, Voices-CAMP and En Tête-Paris 8. Elle vit et travaille à Athènes.
Marilena Aligizaki was born in Athens in 1984. She studied Conservation of Antiquities and Fine Art at TEI of Athens and later Painting at the School of Fine Arts in Athens. In 2012 received a scholarship for ERASMUS semester at university Paris8, in Paris, in the department of fine Arts. In 2014 she was an MFA student at the Master of Fine Arts (MFA), at the Athens School of Fine Arts. In 2015 received a scholarship for studying at university Bauhaus, in Weimar, in the department MFA-Program, Public Art and New Artistic Strategies. Since 2017 she is a PhD student at the School of Fine Arts in Athens She has participated in several group exhibitions in Europe, such as Imaginary Bauhaus Museum Goes Gorki- Gorki theater Berlin, Identalterity– 5th Biennale Thessaloniki, Dialogos 8, New Babylon Revisited - Goethe-Institute, Voices-CAMP and En Tete-Paris 8. Lives and works in Athens.
www.marilenaaligizaki.com/


Panagiotis Kefalas a obtenu son diplôme du TEI d'Athènes en 2006, puis a étudié la peinture à l'Ecole des Beaux-Arts d'Athènes avec le professeur Anastasios Christakis, de 2008 à 2013.
En 2011, il a étudié la peinture et l'anatomie avec une bourse IKY (Erasmus) à l'Academia di belle arti di Firenze. Il a participé à diverses expositions collectives. En avril 2014, il a présenté sa première exposition personnelle intitulée «Entropy and Denial» dans la galerie Genesis. En 2017, il a organisé la deuxième exposition personnelle «… et ils nous ont dit que nous trouverions le chemin», organisée par Anna Chatzinassiou, historienne de l'art, au "Salon de Bricolage", Athènes.
Panagiotis Kefalas graduated from the TEI of Athens in 2006, and then studied painting at the Athens School of Fine Arts with Professor Anastasios Christakis, 2008-2013. In 2011 he studied painting and anatomy with an IKY (Erasmus) scholarship at the Academia di belle arti di Firenze. He has participated in various group exhibitions and in April 2014 presented his first solo exhibition in gallery genesis, entitled '' Entropy and Denial '' and in 2017 the second solo exhibition '… and they told us we would find the way', curated by art historian Anna Chatzinassiou at Salon de Bricolage, Athens.
https://panagiotiskefalas.com/

Efsevia Michailidou est née à Athènes en 1964. Elle a étudié la peinture à l'école des beaux-arts (1985-1990) dans l'atelier de Dimitris Mytaras avec Rena Papaspyrou. Elle a poursuivi ses études en sculpture au laboratoire de Theodoros Papagiannis (1997-1999). Elle a organisé quatre expositions personnelles et participé à de nombreuses expositions collectives en Grèce et à l'étranger (Biennale d’Espagne, Biennale des Pays-Bas).
Ses oeuvres font partie de collections privées et publiques.
Efsevia Michailidou was born in Athens in 1964. She studied Painting at the School of Fine Arts (1985-1990) in the workshop of Dimitris Mytaras with Rena Papaspyrou as a teacher.
She continued her studies in Sculpture at Theodoros Papagiannis's laboratory (1997-1999). She has held four solo exhibitions and participated in many group shows in Greece and abroad (Spanish Biennale, Dutch Biennale). Her works are in private and public collections.

Aliki Palaska (1962) vit et travaille à Athènes. Elle a étudié à l'École des Beaux-Arts d'Athènes (Peinture et Sculpture, 1989-1994) et à l'Université Concordia à Montréal(Master of Fine Arts, sculpture, Céramique et Fibres). Elle est active à exposer depuis 1993. Les expositions personnelles et collectives le plus récentes comprennent: 2017, RE-PORT ON CASES, (curated by Christoforos Marinos), Zoumboulakis Galleries, DWELLINGS AND IMPRINTS, Francoise Heitsch, Munich, 2016,FLYING OVER THE ABYSS,(curated by Dimitris Palaiokrassas and Maria Marangou), NEON, Athens Conservatoire, 2015 Terrapolis curated by Iwona Blazwick), NEON and Whitechapel Gallery, French School, Athens BROKEN IDENTITIES/BREATHING SPACE, Francoise Heitsch, Munich.
Aliki Palaska (1962), lives and works in Athens, studied at the Fine Art School of Athens – BA Painting, Sculpture, 1989-1994 and at Concordia University, Montreal-MFA, Sculpture, Ceramics and Fibres. She started exhibiting since 1993.Recent group and solo shows include: 2017, RE-PORT ON CASES, (curated by Christoforos Marinos), Zoumboulakis Galleries, DWELLINGS AND IMPRINTS, Francoise Heitsch, Munich, 2016, FLYING OVER THE
ABYSS, (curated by Dimitris Palaiokrassas and Maria Marangou), NEON, Athens Conservatoire, 2015 Terrapolis (curated by Iwona Blazwick), NEON and Whitechapel Gallery, French School, Athens BROKEN IDENTITIES/BREATHING SPACE, Francoise Heitsch, Munich.
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Alexandra Petranaki est née à Athènes et elle a étudié la Radio technologie et la Pédagogie.
En janvier 2011, elle entre à l'École National des Beaux-Arts d'Athènes. En juin 2015, elle est
diplômée du département de peinture. En juin 2018 elle a terminé ses études au programme
Master of Fine Arts(MFA) organisé par l’Ecole des Beaux-Arts d’Athènes. Au cours des dernières années, elle a présenté son travail dans le cadre des nombreuses expositionscollections en Grèce et à l’étranger et elle a participé à des concours d'arts visuels, recevant un 1er et un 2e prix. A noter sa participation et collaboration avec les institutions et les expositions suivantes: Biennale “Prague Quadrennial of Performance Design and Space” 2015, Biennale “Athina 2015”, Exhibition at the 4th International Festival Back to Athens, organized by Cheapart, 2016 Documenta14 (MFA Open Studios-ASFA).
She was born in Athens, studied Radiotechnology and Pedagogy and in January 2011, she succeeded in entering the Athens School of Fine Arts. In June 2015 she graduated at the top of her class from the Painting Department. From September 2016 she studied to the School of Fine Arts Visual Arts Master. Over the last years, she has done solo presentations and has taken part in visual art contests, receiving one 1st and one 2nd prize, and numerous group exhibitions and actions both in Greece and abroad, such as: Bienalle “Prague Quadrennial of Performance Design and Space” 2015, Biennale “Athina 2015”, Exhibition at the 4th International Festival Back to Athens, organized by Cheapart, 2016 Documenta14 (MFA Open Studios-ASFA).
http://alexandrapetranaki.wixsite.com/arts

Evi Roumani est née à Athènes en 1989. Elle a étudié la peinture à l'École des beaux-arts d'Athènes avec le professeur Anastasios Christakis et la photographie avec Manolis Baboussis (2008-2013). En 2011-2012, elle a étudié la peinture et l’anatomie à l'Académie des beaux-arts de Florence avec une bourse Erasmus. En 2018, elle  est diplômée du master en Arts Plastiques de l’Ecole des Beaux-Arts d’Athènes. Elle a participé à diverses expositions collectives telles que: 6e Biennale des étudiants en beaux-arts de Grèce - Athènes 2011, "In Art", Galerie Zena Athanassiadou, Thessalonique 2014, "À la recherche d'un" Godot ", Histoires de Deus ex Machina", ArtWall, Athènes 2016 , Diplômés 2012-2013, École des Beaux-Arts, Athènes 2016, 1460 Journées de l'Art, ArtWall, Athènes 2016. En 2017, elle a présenté sa première exposition personnelle Regular/Irregular à Athènes.
Evi Roumani was born in Athens in 1989. She studied painting at the Athens School of Fine Arts with Professor Anastassios Christakis and photography with Manolis Baboussis (2008-2013). In 2011-2012, she studied painting and anatomy at the Florence Academy of Fine Arts with an Erasmus Scholarship. In 2018, she graduated from the Master of Fine Arts at the Athens School of Fine Arts. She has participated in various group exhibitions such as:
6th Biennale of Fine Arts Students of Greece - Athens 2011, "In Art", Zena Athanassiadou Gallery, Thessaloniki 2014, "In Search of a" Godot ", Stories of Deus ex Machina ", ArtWall, Athens 2016, Graduates 2012-2013, School of Fine Arts, Athens 2016, 1460 Art Days, ArtWall, Athens 2016. In 2017, she presented her first solo exhibition Regular / Irregular in Athens .
https://eviroumani.wordpress.com/


Giorgos Tserionis est né en 1967 à Athènes,  a étudié à l'école des arts plastiques et décoratifs Vakalo et à l'Association des arts et de la philosophie, avec les professeurs Roubina Sarelakou, Kyriakos Rokos et Giannis Papaioannou. Il a réalisé quinze expositions personnelles et a participé à nombreuses expositions collectives. Depuis 201l, il est co-fondateur et membre du groupe d'artistes grecs PROVO PRINCIPLES. Il vit et travaille à Athènes.
He was born in 1967 in Athens. Studied in Vakalo School and in Association of Arts and Philosophy, with the teachers Roubina Sarelakou, Kyriako Roko and Gianni Papaioannou. He has realized fifteen solo exhibitions and took part in many group exhibitions so far. He is co-founder and member of the Greek artist run group PROVO PRINCIPLES since 2011. He lives and works in Athens, Greece.

Andreas Vousouras est né à Athènes en 1957. En parallèle avec sa pratique artistique, il a travaillé avec des associations de la danse et du théâtre, occupant les postes du scénographe et du directeur musical. Il a eu seize expositions personnelles en Grèce et a participé à plus de cinquante expositions collectives en Grèce et à l’étranger (Italie, Turquie, Autriche, Allemagne, Portugal, Brésil, États-Unis, Pays-Bas, Chypre, Pologne). Depuis 201l, il est co-fondateur et membre du groupe d'artistes grecs PROVO PRINCIPLES.
Andreas Vousouras was born in Athens in 1957. In addition to visual art he has worked with dance and theatre companies as stage designer and music director. He has had sixteen solo exhibitions in Greece and has participated in more than fifty group shows in Greece and abroad (Italy, Turkey, Austria, Germany, Portugal, Brazil, USA, Netherlands, Cyprus, Poland). He is co-founder and member of the Greek artist run group PROVO PRINCIPLES since 2011.

 

Co-commissariat Laurent Quénéhen et Maria Xypolopoulou (Doctorante à Paris 1, Sorbonne- Panthéon. Curatrice et critique d’art indépendante)

 

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APONIA
67, rue Saint Pierre
43150 Le Monastier sur Gazeille

06 20 49 36 90

Contact : aponia@wanadoo.fr
www.aponia.fr
 

Vendredi, samedi et dimanche de 15h à 18h (en Période d'exposition)
Sur RDV pour les groupes scolaires également les autres jours

L'église Saint Jean et le 67, rue Saint Pierre sont accessibles
aux personnes à mobilité réduite

Entrée libre et gratuite